Stop à Toutes Formes de Harcèlement
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Un jour où l'autre, chacun d'entre nous peut subir du harcèlement à l'école, à l'intérieur de la famille ou au travail.
 
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 Témoignage

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Calliope




Nombre de messages : 2
Date d'inscription : 03/09/2007

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MessageSujet: Témoignage   Témoignage Icon_minitimeMar 8 Jan - 20:58

Bonjour,

Je souhaite vous exposer la situation de harcèlement pour le moins complexe que je vis présentement et qui résulte d'une suite d'éléments qui se sont enchaînés (et déchaînés) depuis 2003. Mon récit risque de paraître long et abondant même si mon intention est d'être la plus succinte possible. Précisions importantes, j'ai 36 ans et je suis universitaire.
Voici mon histoire (par souci de clarté, j'ai jugé pertinent de la jalonner de faits datés et d'y mentionner les noms des principaux protagonistes).

-En janvier 2001, je souhaite m'installer à mon compte en tant que professionnelle de la relation d'aide ou "psychothérapeute". Les charges dont je dois m'acquitter dès le départ sont trop lourdes, j'abandonne donc momentanément le projet.
-En décembre 2001, je suis engagée à mi-temps en tant que responsable d'un bureau d' auto-école.
Puisque les "arrières" semblent désormais un peu plus assurés, en mars 2002, je décide de démarrer, à titre complémentaire, mon activité dans la relation d'aide (à mon domicile, le mercredi après 16h00 et dans un centre médical le mardi matin).
-En juin 2003, la directrice de l'auto-école qui m'emploie (Mme C. D'Eletto) commet une faute grave à mon encontre en ce sens qu'elle décide de ne plus rémunérer mes prestations. Je prends conseil auprès du syndicat qui demeure passif et attentiste. Aussi, deux mois plus tard, je prends finalement l'initiative de faire appel à l'ONEm, à l'Inspection des Lois sociales ainsi qu'à un avocat. Presqu'aussitôt, les choses se débloquent: il y a rupture de contrat, remise de mon préavis, arrêt définitif du travail à la mi-octobre et après quelques mois de persévérance et de précarité (plus de revenus), je vois le ciel se dégager: Mme D'Eletto se voit contrainte de régler son dû.
-En décembre 2003, je suis convoquée à l'ONEm de Tournai, tout à fait logiquement puisque j'ai de ma propre initiative mis fin à mon contrat de travail. Lors de l'entretien, je remets à la contrôleuse de l'ONEm qui est chargée de m'entendre une série de documents dont un fax qui signale clairement que je pratique une activité indépendante à titre complémentaire.
Après mûr examen de ma situation, l'ONEm décide de m'octroyer des allocations de chômage.
-En mai 2004, je suis à nouveau convoquée dans les bureaux de l'ONEm. En effet, lors de ma réinscription en tant que demandeuse d'emploi, il apparaît que j'ai omis de préciser que j'exerçais une petite activité pour mon propre compte. J'avoue très franchement au contrôleur qui me reçoit que j' ignorais l'existence d'une réglementation "ONEm" en vigueur concernant l'activité indépendante et ce d'autant plus que j'étais en ordre fiscalement. Je reconnais donc mon erreur et accepte, s'il y a sanction, de rembourser les allocations que j'ai indûment perçues les jours où j'exerçais mon activité.
-Fin juin 2004, une suspension de treize semaines prend cours, qui sera suivie d'une seconde suspension de la même durée. Je tiens à souligner que je n'ai jamais reçu le moindre courrier de la part de l'ONEm m'informant d'une quelconque suspension (sa nature, sa durée, ses conséquences en termes de statut et pécuniaires). J'ai reçu ces informations partiellement via le syndicat que j'ai consulté constatant que je ne percevais plus d'allocations, c'est-à-dire début août 2004.
-Fin décembre 2004, une fois que la longue sanction eut pris fin, j'ai naturellement souhaité réintroduire une demande d'allocations qui m'a été refusée car "les revenus d'indépendant (complémentaire) ne sont pas contrôlables", dixit l'employé du syndicat.
Au reste, j'obtiens la même réponse lorsque je demande de me déclarer en tant que "financièrement à charge" de mon compagnon.
C'est en outre également en décembre 2004 que je reçois une convocation de la police de Chièvres qui m'apprend qu'une accustion est portée à mon encontre par mon ex-employeuse, la dame D'Eletto, dont l'objet est le vol par effraction d'un ordinateur et un détournement de fonds équivalent à 1000 Euros, faits qui se seraient passés en 2003. Je serai entendue par un inspecteur de police, M. Druart, au cours d'une audition longue, psychologiquement éprouvante car truffée de tentatives d'intimidation, de manipulations et de menaces.
-Au mois de mai 2005, puisque le budget de mon ménage sombre rapidement et sûrement dans la précarité, je décide finalement de mettre un terme à mon activité dans la relation d'aide (avec un immense regret et une pesante amertume car c'était un projet professionnel que j'avais longuement préparé (formations, thérapie personnelle, supervisions,...) et dont j'attendais beaucoup de satisfactions), non sans avoir au préalable terminé le travail en cours avec mes trois clients... Et je me réinscris dès lors sans problème aucun comme "financièrement à charge" de mon compagnon.
-Début juin 2005, je reçois un courrier de l'ONEm qui m'enjoint de rembourser, "dans les 15 jours", TOUTES les allocations perçues avant la période de suspension (du 15/10/2003 au 24/06/2004), soient 4482 euros. Je prends alors l'initiative de demander un recours en justice par l'entremise d'un avocat « spécialisé dans les affaires ONEm », Me De Mets, qui émet cependant des doutes quant à la recevabilité de ma demande puisque j'étais tenue de contester les décisions de l'ONEm endéans les trois mois après réception d'un courrier que je n'ai jamais reçu (le délai légal était donc dépassé)! Le recours est quand-même finalement considéré comme recevable et l'affaire sera plaidée par la suite devant le Tribunal du Travail de Tournai. Le ciel semble s'éclaircir à nouveau...Pas pour longtemps.
- Quelques mois plus tard, je reçois cette fois un courrier de l'INASTI qui m'invite à me régulariser en tant qu'indépendante à titre principal (!) pour la période qui va du début de la sanction ONEm jusqu'à le cessation volontaire de mon activité en mai 2005; en effet, n'ayant plus perçu d'allocations de chômage pendant la période de sanction décidée par l'ONEm et au-delà, j'avais été enregistrée comme indépendante à titre principal et en conséquence, je devais rétroactivement m'acquitter des charges correspondant à ce statut, soient 2500 euros, somme que j'étais bien évidemment financièrement incapable de débourser. A ma demande, Me De Mets envoye donc un courrier à l'INASTI par lequel il requiert le suspension de la décision de m'enregistrer à titre principal durant la période en question, "eu égard à ma situation".
-En mars 2007, après un silence de plus de deux années, je reçois une « citation à comparaître » le 26/04/2007 devant le Tribunal de Première Instance de Mons pour les motifs déjà cités plus haut (vol d'un ordinateur et détournement de fonds). Je contacte Me De Mets pour lui exposer le cas et solliciter son conseil. Il accepte, non sans quelques réticences, de défendre l'affaire mais demande un report d'audience afin de prendre pleinement connaissance du dossier répressif. En parcourant ledit dossier plusieurs éléments me semblent déjà relativement scabreux: par exemple, j'apprends que Mme D'Eletto a, à deux reprises, été réentendue par l'inspecteur Druart et a apporté de nouveaux éléments concernant le détournement de fonds (la somme que je suis accusée d'avoir dérobée passera ainsi de 1000 Euros à quelques 8000 Euros !). Je souligne qu'à aucun moment, je ne serai reconvoquée par la police pour être entendue quant à ces nouveaux « faits » clairement portés à ma charge.
-En juin 2007, Me De Mets échoue à convaincre Madame l'Auditeur du Travail de Tournai de mon « innocence » (au sens premier du terme de « qui ne sait (ou ne savait ) pas »), en effet, celle-ci déclare le recours irrecevable, les délais étant dépassés et je me vois donc « condamnée » à payer le montant déjà réclamé par l'ONEm en 2005, soient 4482 Euros. C'est un échec amer pour moi résultant de deux ans de vaine lutte.
-Début juillet 2007, j'apprends par Me De Mets qu'il a échoué (une fois de plus) à obtenir un non-lieu concernant cette fois les accusations portées contre moi par mon ex-employeuse, Mme D'Eletto. Seul le « vol par effraction » ne sera pas retenu car j'avais accepté que mon sang soit analysé (puisque sang il y avait sur « les lieux du crime », d'après l'inspecteur Druart) afin de prouver mon innocence mais le fonctionnaire de police n'a manifestement pas jugé opportun de poursuivre cette piste. L'affaire passe donc de ce fait au « pénal », je suis dès lors clairement « inculpée » de détournement de fonds.
Je confesse au passage que comme mon avocat me semble de plus en plus passif, peu soutenant et qu'il manque manifestement de conviction et de confiance en ses capacités, j'ai décidé de prendre contact, à l'insu du précité Me De Mets, avec un autre professionnel plus spécialisé dans le domaine pénal et a priori plus compétent afin qu'il me livre son avis sur l'affaire ainsi que les évolutions et issues possibiles. Cet avocat, Me Antioco, doit me contacter dans le courant du mois de septembre.
-Je précise encore que le 31/07/2007, l'ONEm m' expédie un courrier nanti d'un document intitulé « échelonnement du remboursement » par lequel je « m'engage à regler la somme de 4482 Euros en 1 mensualité pour le 20/08/2007 », document que je suis invitée à compléter et renvoyer. Comme je suis en situation d'insolvabilité, je réexpédie au bureau de l'ONEm concerné un courrier par lequel je les informe de ma situation de famille(« financièrement à charge » donc sans revenus). Après 3 semaines sans retour aucun de la part de l'ONEm, le 26/08, je renvoie le même courrier en recommandé.
-Le 4/09, je reçois la visite de l'agent de quartier qui me dépose un « pro justitia », une convocation à l'audience du Tribunal Pénal de Mons qui aura lieu le 4/12/2007. J'ajouterai, pour information, que la dame D'Eletto s'est portée « partie civile », ce qui veut dire que si elle perd son procès, je ne pourrai ni lui réclamer les frais que sa « persécution » acharnée a occasionnés, ni la poursuivre pour calomnie.
-Enfin, le 6/09, je reçois à nouveau un courrier de l'ONEm me communiquant qu' »après vérification, ils constatent que je n'ai pas respecté les versements prévus par mon engagement du 31/07/2007 » (sic) et me somment de régler le montant pour le 20/09/2007. Je souligne que je ne me suis « engagée » à rien (je n'ai pas renvoyé le document à compléter et signer) puisque je suis en situation d'insolvabilité, ce que je leur ai par 2 fois communiqué par lettre simple et recommandée. Je considère que cette façon de fonctionner relève clairement du « dialogue de sourds », pratique que l'on retrouve fréquemment dans le « harcèlement moral ».

En guise de conclusion à ce témoignage touffu, je dirais que depuis que j'ai accepté ce poste de responsable d'un bureau d'auto-école, mes ennuis ont commencé et se poursuivent comme une chute dynamique et inexorable de dominos. La question est quand s'arrêtera cette chute et avec quelles conséquences? Quand tombera l'épée de Damoclès?
J'ai volontairement cessé de travailler pour cette auto-école depuis bientôt quatre années et j'avoue avoir la très désagréable impression que Mme D'Eletto s'acharne à vouloir se venger, quitte à déformer la vérité, voire à mentir. Et ce qui est le plus intolérable est qu'elle semble jouir d'un crédit sans faille auprès de l'autorité (police et justice).
Financièrement, je vis dans une noire précarité depuis que j'ai (volontairement) mis un terme à mon travail d'employée et que l'ONEm m'a « contrainte » d'abandonner (volontairement, également) mon activité professionnelle indépendante dans la relation d'aide. Je note que le mot « volontairement » apparaît assez paradoxalement dans les deux cas et me réfère opportunément à l'une des trente caractéristiques que cite I. Nazare-Aga dans son ouvrage sur les manipulateurs: « il nous fait faire des choses que nous n'aurions probablement pas faites de notre plein gré ». Intéressant. .
Psychologiquement, je vis dans l'insécurité (peur d'entendre retentir le carillon de la porte d'entrée (courrier recommandé? Pli judiciaire? Police? Huissier?), angoisse face à mon avenir professionnel (pourrais-je jamais à nouveau imaginer exercer ce métier qui me convient tant?), à l'avenir de mon couple et de mon désir d'être mère (est-ce bien raisonnable et responsable d'accueillir un enfant dans une telle situation?). En outre, il m'arrive de plus en plus régulièrement de me sentir très seule et irritable (comme une bête traquée), d'être assaillie par un doute généralisé, d'être tenaillée par une lassitude qui confine parfois au désabusement alors que je suis une femme d'un naturel pugnace et persévérant. J'ai par ailleurs tendance à sombrer dans la honte, à me sentir souillée à jamais.
Physiquement, je souffre d'insomnies, d'épuisement et d'angoisse somatique (vertiges, colopathie fonctionnelle, migraines, etc.), symptômes caractéristiques du burn-out. Comme on le dit prosaïquement: « je suis au bout du rouleau ».
Voici donc, très largement résumée, la situation dans laquelle je « survis » au présent en ayant l'impression presque chronique de livrer bataille contre des moulins à vent.
L'histoire pourrait être drôle si elle n'était toutefois pas si dramatiquement ubuesque et si insidieusement destructrice.

J'espère avoir été claire dans mes explications car en effet, le temps a passé depuis et ma résistance nerveuse (comme je l'ai mentionné plus haut) est mise depuis trop longtemps à rude épreuve.
Je vous remercie par ailleurs de l'intérêt patient que vous pourrez accorder à mon témoignage et du retour éventuel que vous m'enverrez.

Bien cordialement,

Calliope


Dernière édition par Calliope le Mar 14 Sep - 15:25, édité 1 fois
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soso83




Nombre de messages : 1
Date d'inscription : 16/01/2009

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MessageSujet: Re: Témoignage   Témoignage Icon_minitimeVen 16 Jan - 19:03

bonjour, je viens de lire jusqu'au bout ton témoignage. Je suis graduée en psychologie et ai été un peu interpellée que tu sois thérapeute et que tu sois malheureusement en train de vivre telle situation totalement injuste.

Je ne peux que te donner mon soutien moral et t'encourager à persévérer. Je te félicite pour ton courage.

BIen à toi,

sophie

flower
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Calliope




Nombre de messages : 2
Date d'inscription : 03/09/2007

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MessageSujet: Re: Témoignage   Témoignage Icon_minitimeLun 19 Juil - 14:13

Bonjour,

Après un très long moment d'absence, je reviens vers ce forum et en profite pour remercier les personnes qui se sont intéressés à mon témoignage de façon personnelle par le biais de demandes d'informations ou de messages d'encouragement.

Concernant, l'affaire avec mon ex-employeuse, les nouvelles sont encourageantes puisque justice a finalement été faite!
Malgré les tentatives plutôt lourdes de la partie civile pour ajourner les audiences, plonger l'avocat général et les juges dans la confusion et la perplexité en introduisant notamment de fausses données dans le dossier répressif, j'ai gagné la partie en première instance par un acquittement en 2009 ET cette année, en appel (car bien entendu, l'ex-employeuse n'a pas prétendu s'avouer vaincue de si facile manière) où non seulement, j'ai à nouveau été acquittée, mais où les acteurs chargés de l'instruction ainsi que l'avocat général ont également reçu un blâme pour un travail médiocre et si dangereusement lacunaire qu'il a porté à de graves conséquences. Je souligne en outre que la partie civile, quant à elle, a tout bonnement été condamnée pour accusation abusive à payer les frais de justice.
Je précise que la grande compétence de mon avocat, Me Antioco, un homme de principes aux grandes qualité humaines, a énormément contribué à l'issue victorieuse de cette affaire qui aura duré sept ans. Je le remercie encore chaleureusement.

Quant aux démêlés avec l'ONEm, les choses ne se sont malheureusement pas terminées aussi victorieusement...
Après la défaite de Me De Mets, j'ai également fait appel aux conseils d'un autre professionnel, une avocate du droit social, Me Maesschalk, qui a confirmé que j'étais non seulement dans mes droits (cf. la Charte de l'assuré social dans laquelle il est précisé que l'assuré peut introduire un recours contre une décision qu'il juge lésante dans les 3 mois après qu'il a reçu TOUTES les informations afférentes à la décision en question (sanction+cause(s) de la sanction+somme à rembourser) mais également que j'aurais dû faire appel à la décision de l'Auditeure du Travail, ce que précisément mon avocat de l'époque m'avait déconseillé. Question
Sur les recommandations de Me Maesschalk, je contacte le Médiateur fédéral en charge des Affaires sociales.
Cet homme est d'abord très interpellé par mon histoire, il mentionne également la Charte de l'assuré social, souligne que j'aurais dû faire appel à la décision du Tribunal du Travail et finalement contacte l'ONEm.
Il lui est répondu qu'en effet, j'étais dans mes droits mais comme il n'y a pas eu de recours de ma part, je dois m'acquitter de la somme due (+/- 4500€). Question
Le médiateur demeure perplexe et tente de trouver un arrangement...dont j'attendrai des nouvelles indéfiniment. Evil or Very Mad
En effet, à mes nombreuses relances, il répondra par le silence et je recevrai finalement un courrier d'un autre médiateur qui m'enjoindra de régler ma dette à l'ONEm, sans autre commentaire.
Me Maesschalk me conseillera alors de passer par l'entremise d'une médiatrice de dettes afin de pouvoir organiser le paiement du montant réclamé par l'ONEm qui n'a du reste jamais eu l'intention de céder un seul pouce de terrain, utilisant à l'envi la mauvaise foi, se retranchant derrière d'obscurs règlements d'ordre intérieur et des raisonnements absurdes.
La médiatrice de dettes du CPAS ne me sera d'aucune aide car j'ai les capacités de gérer seule mon budget, elle constitue toutefois un biais officiel qui me préserve des tentatives d'intimidation de l'ONEm, il faut le préciser.
Cela fait maintenant plusieurs mois que je rembourse une dette dont je refuse d'accepter la légitimité mais il faut parfois lâcher prise de certaines choses pour pouvoir progresser sur les chemins réellement importants.

Voilà donc la suite et la fin d'un parcours semé de ronces mais mûrissant.

Je tenais simplement à ajouter que sur un chemin soudainement plongé dans la pénombre et parfois la totale obscurité, l'on rencontre des personnes aux qualités puissantes et précieuses qui donnent tout son sens à l'épreuve que l'on traverse...Et on le réalise souvent a posteriori.
Merci à tous ces gens qui ont été juste présents (mon mari, mon avocat, Me Antioco et tous les autres qui par leurs messages ont contribué à livrer et à gagner la bataille contre la malveillance et le harcèlement). cheers

Calliope
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